Dans un grondement effroyable cataclysmique
l'Océan titane de l'Univers se déchire
Des lois gravitationnelles Elle peut s'affranchir
Éthérée entonne sa danse aphro-sismique
Sur les crêtes chaotiques des espaces-temps
épileptique transe Lascive équilibriste
Elle se spasme Chaloupe s’apostrophe Fildefériste
des énergies Elle est le fantasme du vent
La peau des trous-noirs se tend en percussions
Tambours frénétiques Claquants Pulsants en rythme
la syncope d'une mystique défibrillation
Les fibres de son corps sensuel sont en résonance
De son sein rond Éthérée offrit son biorythme
de son souffle à la TERRE sa perpétuelle danse