Faire un bout de route avec toi était mon seul désir
Bâtir notre cabane en la clairière aux boutons dorés
Mais ton hésitante démarche vers l’éventuel
A pris fin dans le flou de té extravagances
De phrases en phrases je construisais notre avenir
Toi, tes cheveux dans le vent tu marchais sans te dévêtir
En abstraction des paroles amoureuse construite pour toi
Sans rien dire un jour pourtant ma main tu lâchas
Depuis tel un idiot j’écris des spicilèges sombres
Ou tes paroles perfides raisonnent dans la pénombre
Ma destiné depuis, et parsemé d’amertumes alarmes
Au café noir du matin refroidi par mes larmes
Passent les jours sur des saisons austères
Ou les souvenirs sarcastiques se composent, naguères !
Sur notre livre a présent fermé faute d’amour aphone
Raisonne dans ma tête la chanson des amants de Vérone