A la source de la vie
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Jeune femme berbère donnant le sein à son enfant
Jean-Luc GAILLARD
Ce besoin de peindre est un bienfait, il évacue la médiocrité et le désenchantement du quotidien. C'est une forme de méditation, ou plutôt un recueillement ou jaillit une émotion que je laisse se dégager et que je transpose jusqu'au bout de mes pinceaux.